La fin du party?
Entrevue très intéressante avec James Howard Kunstler, l'auteur du récent The Long Emergency: Surviving the Converging Catastrophes of the 21st Century.
Je n'ai pas lu le bouquin, mais l'entrevue nous donne une bonne idée des vues pessimistes de M. Kunstler. Son argumentation repose sur la prémisse que nous avons atteint, ou sommes sur le point d'atteindre, le sommet de la production mondial de pétrole. Selon lui, aussi rapidement que d'ici trois ans une crise se mettra en branle, et d'ici 10 ans nous entrerons dans une crise majeure à cause de la diminution des stocks de pétrole disponible.
Il souligne à quel point la société actuelle ne tient la route que grâce à des stock de pétrole abondant et à bon marché. La crise imminente va toucher les transports, la production d'électricité, les infrastructures routières, l'industrie agroalimentaire, le commerce de détail style méga-centres ainsi que le tissu même de la banlieue. Bref, ça va faire mal!
Les conséquences de ces bouleversements? Un retour à la terre forcé, rien de moins. Selon lui, les communautés qui s'en tireront le mieux seront celles avec un réseau communautaire solide et à proximité de terres agricoles. Déménageons tous à Sainte-Anne-de-Sorel!
Je n'ai pas lu le bouquin, mais l'entrevue nous donne une bonne idée des vues pessimistes de M. Kunstler. Son argumentation repose sur la prémisse que nous avons atteint, ou sommes sur le point d'atteindre, le sommet de la production mondial de pétrole. Selon lui, aussi rapidement que d'ici trois ans une crise se mettra en branle, et d'ici 10 ans nous entrerons dans une crise majeure à cause de la diminution des stocks de pétrole disponible.
Il souligne à quel point la société actuelle ne tient la route que grâce à des stock de pétrole abondant et à bon marché. La crise imminente va toucher les transports, la production d'électricité, les infrastructures routières, l'industrie agroalimentaire, le commerce de détail style méga-centres ainsi que le tissu même de la banlieue. Bref, ça va faire mal!
Les conséquences de ces bouleversements? Un retour à la terre forcé, rien de moins. Selon lui, les communautés qui s'en tireront le mieux seront celles avec un réseau communautaire solide et à proximité de terres agricoles. Déménageons tous à Sainte-Anne-de-Sorel!
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