cliché philosophique?
Dans un billet hier je citais Didier Jacob du Nouvel Observateur. J'ai failli tronquer la fin de la citation parce que je ne la comprend pas. Quelqu'un peut éclairer ma lanterne?
[...]comme dans l’éternel cliché philosophique du chien qui mord, et de l’idée de chien qui ne mord pas.
2 Comments:
Est-ce que ça pourrait être une sorte de traduction/adaptation de His bark is worse than his bite? Ou en clair, il jappe, mais il ne mord pas.
By marcsnyder, at 4:46 p.m.
Mouais... . Si tel est le cas, la traduction laisse à désirer. On a 2 concepts, mais pas de jappement.:
1- le chien qui mord
2- l'idée de chien qui ne mord pas
Ma perplexité persiste (ne tentez pas de dire cette phrase en sortant de chez le dentiste).
Je vais essayer de rejoindre mon pote PP, informaticien issu comme moi d'un autre monde. Moi, avant les TI, j'étais matelot-cafetier; lui est diplômé en philo. On faisait une belle paire lors de notre stage, à analyser une application VB.
Merci de ton commentaire, qui garde tout de même ma question sur le tapis.
By Hugo, at 8:16 a.m.
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