HB sur papier glacé?
La semaine dernière, j'ai fait un truc que je voulais tenter depuis des lunes: j'ai envoyé une idée d'article à un magazine, en l'occurence Géo Plein Air. Franchement, j'espèrais beaucoup, mais je n'attendais rien. Après tout je ne suis qu'un informaticien qui n'a jamais rien publié. Je me disais qu'au pire je n'aurais pas de réponse, et qu'au mieux une réponse polie me dirait que le sujet avait déjà été couvert (lire entre les lignes: "té qui toi?") Eh bien! Je me trompais! La gentille rédactrice en chef trouve mon idée bonne et aime bien les quelques lignes que j'ai soumis comme pitch de vente. Elle m'encourage à aller de l'avant et attend mon article!
Évidemment, j'essaie de ne pas m'emballer. Il ne s'agit que d'une première étape vers la publication, il y a encore loin de la coupe aux lèvres (je devrai travailler à nettoyer mes textes des clichés tels "il y a encore loin de la coupe aux lèvres", et surtout, surtout, éliminer ces longues parenthèses incongrues qui allourdissent mes textes... sans compter l'usage des trois petits points, témoins d'une paresse qui empêche de bien conclure une idée, bref il y a vraiment loin de la coupe aux lèvres) . Mais, je suis très content que ce premier pas soit si bien accueilli.
J'ai hésité avant de vous faire part de cet événement, à cause de sa nature embryonnaire. Aurais-je l'air fou si l'histoire avorte? Je ne pense pas, et puis franchement même si j'ai l'air fou, personne ne va en souffrir (à part peut-être mes mousses qui pourraient se faire lancer des roches dans la cour d'école, les enfants sont si cruels). Finalement, j'ai décidé d'en parler pour me forcer à aller de l'avant. Si mon projet est public, il devient concret. De plus, il y a des chances qu'en rendant mon projet public, des gens (peut-être vous, chers lecteurs) s'offrent pour aider ou simplement m'encourager, en accord avec un des principes de base du jeu du Tao tel que je l'ai compris après explication sommaire par mon pote JS.
Il ne me reste plus qu'à réparer mes canots, y déposer femme, enfants et bagages, les mettre à l'eau (les canots, pas les enfanst) et espérer que des aventures digne d'intérêt arrivent. Sinon, vous me connaissez, je pourrai toujours inventer un peu. Si c'est bon pour le New-York Times... (doh! (doh!))
Évidemment, j'essaie de ne pas m'emballer. Il ne s'agit que d'une première étape vers la publication, il y a encore loin de la coupe aux lèvres (je devrai travailler à nettoyer mes textes des clichés tels "il y a encore loin de la coupe aux lèvres", et surtout, surtout, éliminer ces longues parenthèses incongrues qui allourdissent mes textes... sans compter l'usage des trois petits points, témoins d'une paresse qui empêche de bien conclure une idée, bref il y a vraiment loin de la coupe aux lèvres) . Mais, je suis très content que ce premier pas soit si bien accueilli.
J'ai hésité avant de vous faire part de cet événement, à cause de sa nature embryonnaire. Aurais-je l'air fou si l'histoire avorte? Je ne pense pas, et puis franchement même si j'ai l'air fou, personne ne va en souffrir (à part peut-être mes mousses qui pourraient se faire lancer des roches dans la cour d'école, les enfants sont si cruels). Finalement, j'ai décidé d'en parler pour me forcer à aller de l'avant. Si mon projet est public, il devient concret. De plus, il y a des chances qu'en rendant mon projet public, des gens (peut-être vous, chers lecteurs) s'offrent pour aider ou simplement m'encourager, en accord avec un des principes de base du jeu du Tao tel que je l'ai compris après explication sommaire par mon pote JS.
Il ne me reste plus qu'à réparer mes canots, y déposer femme, enfants et bagages, les mettre à l'eau (les canots, pas les enfanst) et espérer que des aventures digne d'intérêt arrivent. Sinon, vous me connaissez, je pourrai toujours inventer un peu. Si c'est bon pour le New-York Times... (doh! (doh!))
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