Le vélo sans petite culotte

vendredi, septembre 01, 2006

Tell it like it is Keith

Eh Monsieur! Le Keith Olbermann a laissé tomber les gants (petite note aux lecteurs outre-Atlantique: en nos contrées nordiques, quand on veut en découdre avec quelqu'un on ne met pas ses gants de boxe, on laisse plutôt tomber les gants de hockey. Ça fait partie de l'étiquette des brutes en patins; si pendant un match tu te prends un coup de crosse dans les roubignoles, et que tu veux t'expliquer de manière virile avec le con à l'autre bout de la crosse, tu laisses tomber tes gants pour libérer tes poings et ainsi indiquer de manière non-équivoque qu'on oublie le palet pour un round. Bon si vous permettez, je ferme la parenthèse et je reprend le fil.)

Eh Monsieur! Le Keith Olbermann a laissé tomber les gants (on se comprend)! Les lecteurs attentifs de ce blog connaissent mon insulte préférée, eh bien le commentateur Olbermann, l'utilise à l'encontre de son gouvernement: fascistes! Juste l'ouverture:
The man who sees absolutes, where all other men see nuances and

shades of meaning, is either a prophet, or a quack.

Donald H. Rumsfeld is not a prophet.


C'est parti! Allez sur crooksandliars.com voir l'intégrale.

(via Rob)

1 Comments:

  • C'est l'ennemi juré d'O'Reilly.

    Enfin qqun qui a pas peur des brutes de Washington!

    By Anonymous Anonyme, at 1:03 p.m.  

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