Un autre Boulgakov
Après Endiablade je me suis tapé un autre Boulgakov la semaine dernière. Encore plus court qu'Endiablade, Morphine n'a que 67 pages dans l'édition que des Mille et une nuits. Aors pas d'excuse du genre, "je n'ai pas le temps de lire".
Il s'agit d'un récit autobiographique racontant la descente aux enfers d'un médecin russe aux prises avec une dépendance à la morphine. Entre 1916 et 1919, Boulgakov, jeune médecin envoyé dans un lointain village russe, a effectivement été morphinomane. Si Endiablade se lisait avec le sourire aux lèvres et avait des airs de Kafka, on ne rit pas à la lecture de Morphine qui fait plus penser à Junkie de William S. Burroughs. Voilà un texte qui mérite son titre de "joyau noir d'une oeuvre unique". À lire.
Il s'agit d'un récit autobiographique racontant la descente aux enfers d'un médecin russe aux prises avec une dépendance à la morphine. Entre 1916 et 1919, Boulgakov, jeune médecin envoyé dans un lointain village russe, a effectivement été morphinomane. Si Endiablade se lisait avec le sourire aux lèvres et avait des airs de Kafka, on ne rit pas à la lecture de Morphine qui fait plus penser à Junkie de William S. Burroughs. Voilà un texte qui mérite son titre de "joyau noir d'une oeuvre unique". À lire.
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