Das Parfum

Je viens de terminer la lecture du roman Le Parfum, Histoire d'un meurtrier, de l'auteur allemand Patrick Süskind, et je résume: c'est génial.



C'est sombre, sordide et drôle. La psychologie humaine y est étudiée au microscope. C'est de la grande littérature qui se lit comme du bonbon. Je ne vous raconte pas, car comment peut-on décrire le bonheur qu'on ressent quand on hume un parfum exquis? On ne peut pas? Personnellement je ne le peux pas, mais Süskind y parvient page après page pour notre plaisir.

Fait intéressant à noter: l'auteur annexe une bibliographie à la fin. Évidemment, ça devient une liste à garder dans ses poches quand on va fureter dans les livres usagés. Je découvre avec joie que notre préféré, notre Maître Boulgakov, y figure bien avec deux romans, La Garde Blanche et l'incontournable Le Maître et Marguerite. Mais la grande influence de Monsieur Süskind si on se fie à cette biblio: Virginia Woolf et ses huit références. Bonne lecture.