lundi, octobre 31, 2005
Pour les maniaques, on peut fêter l'Halloween sur les pentes de ski en allant à Killington.
vendredi, octobre 28, 2005
Le blog de Dilbert
Je suis un fan de Dilbert. Je dois avoir ma dose quotidienne. Nous avons les histoires quotidiennes, accessibles sur le web. Il y a également un newsletter périodique pour les membres de Dogbert's New Ruling Class:
Et maintenant nous aurons le blog de Dilbert. Elle est pas belle la vie! Voici comment Scott Adams nous présente son nouveau blog:
Dogbert's New Ruling Class boasts 475,000 members. Each of you is so intelligently designed that you can survive a Category 5 hurricane via a process known as running away.
Et maintenant nous aurons le blog de Dilbert. Elle est pas belle la vie! Voici comment Scott Adams nous présente son nouveau blog:
When I see news stories about people all over the world who are experiencing hardships, I worry about them, and I rack my brain wondering how I can make a difference. So I decided to start my own blog. That way I won't have time to think about other people.
People who are trying to decide whether to create a blog or not go through a thought process much like this:
1. The world sure needs more of ME.
2. Maybe I'll shout more often so that people nearby can experience the joy of knowing my thoughts.
3. No, wait, shouting looks too crazy.
4. I know - I'll write down my daily thoughts and badger people to read them.
5. If only there was a description for this process that doesn't involve the words egomaniac or unnecessary.
6. What? It's called a blog? I'm there!
The blogger's philosophy goes something like this:
Everything that I think about is more fascinating than the crap in your head.
The beauty of blogging, as compared to writing a book, is that no editor will be interfering with my random spelling and grammar, my complete disregard for the facts, and my wandering sentences that seem to go on and on and never end so that you feel like you need to take a breath and clear your head before you can even consider making it to the end of the sentence that probably didn't need to be written anyhoo.
If that doesn't inspire you to read my blog, I don't know what will. You can find the Dilbert Blog at
http://dilbertblog.typepad.com/
mardi, octobre 25, 2005
Life of Pi
Lu dans La Presse ce matin: L'histoire de Pi de Yann Martel + Jean-Pierre Jeunet + budget d'Hollywood = je réserve mon billet.
Dans l'édition papier, la journaliste Stéphanie Bérubé a interviewé Martel pour son article.
Dans l'édition papier, la journaliste Stéphanie Bérubé a interviewé Martel pour son article.
vendredi, octobre 21, 2005
Trop busy pour blogger...
Je vous avais averti, depuis que je suis au chômage j'ai moins de temps pour blogger. Voici 2 photos illustrant ce propos: plus de temps avec les mousses (là je marche avec eux jusqu'à l'école)
Tandis qu'ici, je travaille sur la maison:
jeudi, octobre 20, 2005
mercredi, octobre 19, 2005
un lien pour mes mousses
Mes enfants aiment bien faire des tours avec des cartes à jouer et des blocs de bois. Ils ont écarquillé les yeus en voyant les oeuvres de Bryan Berg. Imaginez une tour de 25 pieds faite de 1500 jeux de cartes, le tout sans colle ou aucun autre trucs.
(via Jérôme Loisel)
(via Jérôme Loisel)
lundi, octobre 17, 2005
Mes Nomades champions
Mon club de rugby, les Nomades de Laval, a remporté la coupe de championnat de 4ième division samedi. Votre vieux Hugo, sans vélo et avec petite culotte, a fièrement participé à cette conquête.
Laissez-moi vous expliquer rapidement c'est quoi le rugby au Québec. Notre ligue se répartit en 4 divisions plus la Premier League, regroupant les meilleurs clus québécois et des clubs de l'Ontario. Un club peut avoir des équipes dans plus d'une division. Les Nomades par exemple, possède 2 équipes, une en 2ième division et l'autre évoluant en 4ième. La 4ième division regroupe les nouvelles équipes ou les équipes B ou C des plus gros clubs.
Je suis un vieux routier car j'ai joué dans toutes ces divisions! J'ai débuté avec les Nomades en 1993 et j'y ai passé 2 ans. En 1994 nos avons gagné la Coupe de 3ième division avec une belle gang de joyeux lurons. J'ai changé d'équipe en 1995 pour me rapprocher de la maison. Car comme je demeurais déjà à Sorel à l'époque, les entraînements 2 fois semaine à Laval devenaient un peu pénibles. En plus, le coach de l'époque avait quitté Laval pour Saint-Lambert, la ville de rugby la plus proche de Sorel. Bref, je me retrouve chez les Locks de Saint-Lambert avec une autre gang de joyeux lurons. Ça faisait changement de Laval car je passais d'une nouvelle équipe formée de Français et jeunes Québécois à une équipe surtout anglophone avec beaucoup d'expérience et un niveau plus élevé avec des équipe en première et deuxième division.
C'est à cette époque que la première version de la Super Ligue est apparue avec un mix d'équipes du Québec et de la région d'Ottawa. Nous avions une superbe équipe et nous avons mis la main en 1995 sur la Coupe de la Super League. J'ai manqué la fin de cette super saison car la deuxième grossesse de ma femme en moins de 2 ans et un déménagement ont eu raison de mon horaire. Mais, j'estime avoir un peu de mérite dans cette saison championne pour les Locks de 1995. J'y ai joué le meilleur rugby de ma vie aux côtés de plusieurs joueurs époustouflants. Mentionnons les plus illustres, les jumeaux Subirana qui ont joué avec l'équipe canadienne, mais beaucoup d'autres étaient tout aussi impressionants.
Après les Locks, avec mes potes BT et HD, nous avons fondé les Gaillarsd un club de rugby à Sorel. Une autre belle gang d'athlètes très talentueux. Nous avons fait des miracles avec une équipe de néophytes, empochants plusieurs victoires contre des équipes plus expérimentées. Mais, une troisièmes grossesse de ma blonde (!) de même que des bébés chez mes copains co-fondateurs ont eu raison de notre organigramme et le club a fermé ses livres après 2 saisons remplies de beaux moments.
Ensuite. Annuellement, les Nomades organisent un match d'Anciens où les retraités du rugby rechaussent les crampons pour le plaisir d'affronter les Nomades actifs et partager un bon souper arrosé de bière. J'y allais presque tous les ans. Il y a 2 ans, le coach nous offre à nous les vieux, de donner un coup de main à la deuxième équipe des Nomades nouvellement formée. On pourra venir aux matches quand ça nous adonne, pas besoin de venir aux entraînement avec assiduité, on comprend que tu restes à Sorel avec trois enfants, bref, on m'offre un beau deal! Alors, retour chez les Nomades avec les jeunes pour plusieurs matches.
L'an passé la deuxième équipe cherchait ses repères et les résultats étaient inégaux, mais quel plaisir de retrouver ce sport! Et les jeunes prenaient une belle expérience. Deux autres anciens, NM et DC ont régulièrement partagé mon plaisir de souffrir aux côtés de plusieurs jeunes joueurs pleins de talent.
2005 a vu naître des vrais joueurs de rugby. Pendant ce temps notre première équipe accumule également les victoires en deuxième division et les succès de notre équipe de 4ième de division ne peut qu'aider en fournissant une relève plus qu'adéquate. Donc, cette belle aventure des Nomades 2005 s'est terminé par plusieurs gorgées de bières prises dans une belle coupe. En 2006 on devrait monter en troisième division car nous avons gagné le championnat cette année. En m'entraînant un peu je devrais pouvoir donner un coup de main encore...
Bravo les jeunes.
Laissez-moi vous expliquer rapidement c'est quoi le rugby au Québec. Notre ligue se répartit en 4 divisions plus la Premier League, regroupant les meilleurs clus québécois et des clubs de l'Ontario. Un club peut avoir des équipes dans plus d'une division. Les Nomades par exemple, possède 2 équipes, une en 2ième division et l'autre évoluant en 4ième. La 4ième division regroupe les nouvelles équipes ou les équipes B ou C des plus gros clubs.
Je suis un vieux routier car j'ai joué dans toutes ces divisions! J'ai débuté avec les Nomades en 1993 et j'y ai passé 2 ans. En 1994 nos avons gagné la Coupe de 3ième division avec une belle gang de joyeux lurons. J'ai changé d'équipe en 1995 pour me rapprocher de la maison. Car comme je demeurais déjà à Sorel à l'époque, les entraînements 2 fois semaine à Laval devenaient un peu pénibles. En plus, le coach de l'époque avait quitté Laval pour Saint-Lambert, la ville de rugby la plus proche de Sorel. Bref, je me retrouve chez les Locks de Saint-Lambert avec une autre gang de joyeux lurons. Ça faisait changement de Laval car je passais d'une nouvelle équipe formée de Français et jeunes Québécois à une équipe surtout anglophone avec beaucoup d'expérience et un niveau plus élevé avec des équipe en première et deuxième division.
C'est à cette époque que la première version de la Super Ligue est apparue avec un mix d'équipes du Québec et de la région d'Ottawa. Nous avions une superbe équipe et nous avons mis la main en 1995 sur la Coupe de la Super League. J'ai manqué la fin de cette super saison car la deuxième grossesse de ma femme en moins de 2 ans et un déménagement ont eu raison de mon horaire. Mais, j'estime avoir un peu de mérite dans cette saison championne pour les Locks de 1995. J'y ai joué le meilleur rugby de ma vie aux côtés de plusieurs joueurs époustouflants. Mentionnons les plus illustres, les jumeaux Subirana qui ont joué avec l'équipe canadienne, mais beaucoup d'autres étaient tout aussi impressionants.
Après les Locks, avec mes potes BT et HD, nous avons fondé les Gaillarsd un club de rugby à Sorel. Une autre belle gang d'athlètes très talentueux. Nous avons fait des miracles avec une équipe de néophytes, empochants plusieurs victoires contre des équipes plus expérimentées. Mais, une troisièmes grossesse de ma blonde (!) de même que des bébés chez mes copains co-fondateurs ont eu raison de notre organigramme et le club a fermé ses livres après 2 saisons remplies de beaux moments.
Ensuite. Annuellement, les Nomades organisent un match d'Anciens où les retraités du rugby rechaussent les crampons pour le plaisir d'affronter les Nomades actifs et partager un bon souper arrosé de bière. J'y allais presque tous les ans. Il y a 2 ans, le coach nous offre à nous les vieux, de donner un coup de main à la deuxième équipe des Nomades nouvellement formée. On pourra venir aux matches quand ça nous adonne, pas besoin de venir aux entraînement avec assiduité, on comprend que tu restes à Sorel avec trois enfants, bref, on m'offre un beau deal! Alors, retour chez les Nomades avec les jeunes pour plusieurs matches.
L'an passé la deuxième équipe cherchait ses repères et les résultats étaient inégaux, mais quel plaisir de retrouver ce sport! Et les jeunes prenaient une belle expérience. Deux autres anciens, NM et DC ont régulièrement partagé mon plaisir de souffrir aux côtés de plusieurs jeunes joueurs pleins de talent.
2005 a vu naître des vrais joueurs de rugby. Pendant ce temps notre première équipe accumule également les victoires en deuxième division et les succès de notre équipe de 4ième de division ne peut qu'aider en fournissant une relève plus qu'adéquate. Donc, cette belle aventure des Nomades 2005 s'est terminé par plusieurs gorgées de bières prises dans une belle coupe. En 2006 on devrait monter en troisième division car nous avons gagné le championnat cette année. En m'entraînant un peu je devrais pouvoir donner un coup de main encore...
Bravo les jeunes.
jeudi, octobre 13, 2005
Iron my shirt
Vu pendant une manifestation féministe, un gars tient une affiche exigeant qu'on repasse sa chemise:
via ozguru.
J'ai fait une petite recherche et le type qui tient l'affiche est Rich Shertenleib petit comique qui travaille sur une station de radio de Georgia. Comique et brave.
via ozguru.
J'ai fait une petite recherche et le type qui tient l'affiche est Rich Shertenleib petit comique qui travaille sur une station de radio de Georgia. Comique et brave.
Montréal en automne
Image prise des airs. 705 km d'altitude pour être précis. C'est Montréal et sa région en vedette cette semaine sur Earth Observatory, ce tripatif site de la Nasa. L'image plein format. Je ne me lasse pas de regarder les images de ce site.
mardi, octobre 11, 2005
Noir destin que le tien
Ah! Lecteure fidèle, noir destin que le tien, car je viens de lire Noir destin que le mien et je n'ai que ces mots à la bouche depuis: Noir destin que le mien.
Je vous ai déjà dit que Jean Leclerc-Loup alias John The Wolf alias Massoud Al Rachid alias Jean-Pierre Ferland, est mon préféré. Je le trouve bizarre, drôle, humain, comique et sympa. Avant de vous parler du livre de Al Rachid laissez-moi vous parler de la fois où je l'ai vu par hasard dans une salle d'attente de l'urgence d'un gros hôpital de Montréal. J'arrive là vers 13h00 par un bel après-midi, il y a un an presque jour pour jour. Jean Leclerc est assis dans la salle où il semble accompagner quelqu'un. Il est radieux. Un type paumé dans la quarantaine avancée lui raconte ses problèmes de santé et de drogue. Jean l'écoute attentivement et le fait parler de ses mésaventures. Il est vraiment super sympa et très drôle. Le type lui demande à un moment donnée, "T'as changé de nom, là? Comment tu t'appelles déjà?". "Jean-Pierre" de répondre feu Leloup. L'autre type est incrédule, "Ah Ouin!? Jean-Pierre comment déjà?". "Ferland!" Incrédule au carré, le monsieur reçoit un coup de coude de sa blonde, tout aussi paumée, qui le ramène à la réalité tandis qu'il répète tout haut "Jean-Pierre Ferland?... Ah mon maudit! Tu me niaises!"
Le gars et sa blonde se bidonnent, Jean-Pierre Ferland et sa compagne se bidonnent, et pis moi aussi je me bidonne.
Bref, si vous aimez Leloup vous aimerez Al Rachid. Moi, j'ai adoré. C'est psychédélique et profond. Comme dans les chansons de Leloup, ce roman se drape d'absurdité et de bouffonnerie pour aborder des sujets sérieux. Vanité, superficialité, spiritualité, éthique, morale, Massoud s'adresse directement à toi lecteur pour exposer ses faiblesses et les tiennes. Noir destin que le tien.
C'est un peu court comme critique, mais je ne fais pas dans la critique vous savez; quand j'aime je vous en fait part subjectivement; j'ai aimé Massoud Al Rachid.
Noir destin que le mien.
Je vous ai déjà dit que Jean Leclerc-Loup alias John The Wolf alias Massoud Al Rachid alias Jean-Pierre Ferland, est mon préféré. Je le trouve bizarre, drôle, humain, comique et sympa. Avant de vous parler du livre de Al Rachid laissez-moi vous parler de la fois où je l'ai vu par hasard dans une salle d'attente de l'urgence d'un gros hôpital de Montréal. J'arrive là vers 13h00 par un bel après-midi, il y a un an presque jour pour jour. Jean Leclerc est assis dans la salle où il semble accompagner quelqu'un. Il est radieux. Un type paumé dans la quarantaine avancée lui raconte ses problèmes de santé et de drogue. Jean l'écoute attentivement et le fait parler de ses mésaventures. Il est vraiment super sympa et très drôle. Le type lui demande à un moment donnée, "T'as changé de nom, là? Comment tu t'appelles déjà?". "Jean-Pierre" de répondre feu Leloup. L'autre type est incrédule, "Ah Ouin!? Jean-Pierre comment déjà?". "Ferland!" Incrédule au carré, le monsieur reçoit un coup de coude de sa blonde, tout aussi paumée, qui le ramène à la réalité tandis qu'il répète tout haut "Jean-Pierre Ferland?... Ah mon maudit! Tu me niaises!"
Le gars et sa blonde se bidonnent, Jean-Pierre Ferland et sa compagne se bidonnent, et pis moi aussi je me bidonne.
Bref, si vous aimez Leloup vous aimerez Al Rachid. Moi, j'ai adoré. C'est psychédélique et profond. Comme dans les chansons de Leloup, ce roman se drape d'absurdité et de bouffonnerie pour aborder des sujets sérieux. Vanité, superficialité, spiritualité, éthique, morale, Massoud s'adresse directement à toi lecteur pour exposer ses faiblesses et les tiennes. Noir destin que le tien.
C'est un peu court comme critique, mais je ne fais pas dans la critique vous savez; quand j'aime je vous en fait part subjectivement; j'ai aimé Massoud Al Rachid.
Noir destin que le mien.
vendredi, octobre 07, 2005
Feu vert chez Géo Plein Air
Le contrat n'est pas signé, il me reste des corrections à faire, la parution prévue n'est pas avant le printemps 2006, mais la rédactrice en chef de Géo Plein Air aime assez mon écriture pour publier l'article que je lui ai soumis. Première tentative, première publication: je frappe pour mille! Je suis très, très heureux. En plus, elle a jeté un coup d'oeil à mes photos et elles lui semblent publiables. Vraiment, je n'en demamdais pas tant.
Je suis un maniaque de magazines. J'en lis des tonnes, et de signer des articles dans les pages de ces périodiques est un vieux rêve. Il suffisait donc de me lever de mon derrière et de cogner à une porte pour que ça se fasse! Je suis aussi très content pour le beau souvenir que ça va faire pour toute la famille.
J'ai plein d'idées pour d'autres articles qui se bousculent dans ma tête. Je vous tiendrai bien sûr au courant des développements de ce côté. Maintenant il faut que je vous laisse, j'ai des réservations à faire pour un week-end d'amoureux, notre premier depuis que nous avons des enfants, et comme ma plus vieille fête ses dix ans dans moins de 2 semaines, c'est dire que nous avons été négligents de ce côté. Je vous en reparle la semaine prochaine; sans trop de détails.
Je suis un maniaque de magazines. J'en lis des tonnes, et de signer des articles dans les pages de ces périodiques est un vieux rêve. Il suffisait donc de me lever de mon derrière et de cogner à une porte pour que ça se fasse! Je suis aussi très content pour le beau souvenir que ça va faire pour toute la famille.
J'ai plein d'idées pour d'autres articles qui se bousculent dans ma tête. Je vous tiendrai bien sûr au courant des développements de ce côté. Maintenant il faut que je vous laisse, j'ai des réservations à faire pour un week-end d'amoureux, notre premier depuis que nous avons des enfants, et comme ma plus vieille fête ses dix ans dans moins de 2 semaines, c'est dire que nous avons été négligents de ce côté. Je vous en reparle la semaine prochaine; sans trop de détails.
mardi, octobre 04, 2005
aigre doux II
Je vais finir par vous parler de ma perte d'emploi, mais pas tout de suite, je digère tout ça. En plus, bien entendu, j'ai moins de temps pour mon blog depuis que je ne bosse plus! Mais en attendant mes états d'âme, voici une citation de mon fils de 6 ans, gambadant vers son bain hier soir:
Je suis content que tu aies perdu ton travail papa, on est toujours ensembles!
Dave TV
Le chômage me permet de reprendre mon bio-cycle naturel. Je suis un oiseau de nuit et je suis à mon top après 21h00. Mais la paternité et une job à 80 km de chez-moi me forçait depuis longtemps à me lever à 5h00, alors je maîtrisais mes pulsions nocturnes pour me coucher plus tôt. Ça doit être une question de karma, quand j'était ado je devais aussi me lever à 5h00 pour aller m'entraîner à la piscine.
Cette semaine je n'ai plus de job, je ne nage plus, et j'ai renoué avec mon plaisir télévisuel d'adolescence: Letterman. Le vieux Dave m'a pratiquement appris l'anglais. Je me souviens très bien du spécial qu'il avait fait pour son 4ième anniversaire! Le show dure dpuis à peu près 20 ans, ça vous donne une idée...
Anyway, Dave est toujours aussi incisif. Entendu hier dans son monologue en lever de rideau:
Cette semaine je n'ai plus de job, je ne nage plus, et j'ai renoué avec mon plaisir télévisuel d'adolescence: Letterman. Le vieux Dave m'a pratiquement appris l'anglais. Je me souviens très bien du spécial qu'il avait fait pour son 4ième anniversaire! Le show dure dpuis à peu près 20 ans, ça vous donne une idée...
Anyway, Dave est toujours aussi incisif. Entendu hier dans son monologue en lever de rideau:
It's the 10-year anniversary of the OJ Simpson trial.[...]I feel sorry for OJ. It's been ten years and he still hasn't found someone special enough to murder.
lundi, octobre 03, 2005
Ces et son papa
Une autre conversation with dad, trois petites lignes de dialogues pour me faire pouffer de rire.
Baile Funk en podcast
J'ai un petit buzz brésilien qui me chicotte depuis quelques mois. Il y a mon pote et homonyme Hugo, coéquipier de rugby, qui est tombé en amour avec une brésilienne et qui l'a suivie jusqu'à Sao-Paulo. Il a d'ailleurs entrepris un blog pour nous en parler, vous pouvez aller le voir et le saluer à Hugo en voyage.
Je vous ai aussi parlé de superbes photos de Tatiana Cardeal. Puis, finalement, je vous parlais aussi de Atari in Rio qui nous faisait découvrir le baile funk qui fait danser les cariocas dans des parties de favelas. Atari en remet avec une compilation en podcast de plus d'une heure. Je l'écoute en vous écrivant ce billet et je d-d-d-d-d-danse dans ma tête! Mes vieux lecteurs et vieux amis savent que j'ai visité le Brésil alors que j'étais jeune et fou, avec un frère et un pote. Alors parfois j'ai des rechutes et j'ai besoin de me rafraîchir le coeur. Juste d'entendre ce portugais qui chante ça fait voyager. Imaginez les corps qui se déhanchent, la bass qui fait tomber la sueur sur le plancher de danse, la boisson à bon prix, les sourires les plus beaux au monde... le Brésil + la musique + les Brésiliennes = sourire au cube.
Je vous avertis, quand mes enfants seront majeurs et vaccinés, je m'y pousse une couple de mois pour aller faire danser ma douce moitiée dans la capitale universelle de d-d-d-d-d-danse!
Je vous ai aussi parlé de superbes photos de Tatiana Cardeal. Puis, finalement, je vous parlais aussi de Atari in Rio qui nous faisait découvrir le baile funk qui fait danser les cariocas dans des parties de favelas. Atari en remet avec une compilation en podcast de plus d'une heure. Je l'écoute en vous écrivant ce billet et je d-d-d-d-d-danse dans ma tête! Mes vieux lecteurs et vieux amis savent que j'ai visité le Brésil alors que j'étais jeune et fou, avec un frère et un pote. Alors parfois j'ai des rechutes et j'ai besoin de me rafraîchir le coeur. Juste d'entendre ce portugais qui chante ça fait voyager. Imaginez les corps qui se déhanchent, la bass qui fait tomber la sueur sur le plancher de danse, la boisson à bon prix, les sourires les plus beaux au monde... le Brésil + la musique + les Brésiliennes = sourire au cube.
Je vous avertis, quand mes enfants seront majeurs et vaccinés, je m'y pousse une couple de mois pour aller faire danser ma douce moitiée dans la capitale universelle de d-d-d-d-d-danse!
trucs pour fudger l'écran du collègue joueur de tour
On a tous ce collègue qui s'amuse à jouer des tours au bureau (salut Dave!). Grâce à mon fils de 6 ans je viens de découvrir un truc pas mal cool sur Windows. Les touches Ctrl + Alt + flèche font tourner l'écran dans le sens de la flèche utilisée. Évidemment mon gars ne se souvenait pas de la séquence des touches et j'ai dû aller faire un tour sur Google en me tenant la tête sur le côté pour trouver le remède: Ctrl + Alt + flèche vers le haut. Vous pouvez compter sur moi pour tourner les écrans des joueurs de tours de ce monde qui oublient parfois de verrouiller leur poste quand ils s'éloignent de leur bureau...
aigre doux; doux
Ça y est, le 30 septembre est passé et me voici nouveau chômeur sur le marché. Je vous faisais part la semaine dernière que ma journée de vendredi serait spécial pour cause de mise à pied, conséquence de la consolidation du marché du téléphone cellulaire canadien et non de mon rendement au travail! Bon. Mais tout ça sera le sujet d'un autre billet. En bête positive que je suis (malgré tout), j'aime mieux vous parler de ma soirée musicale.
Yann Perreau est passé en ville. Ma douce et moi n'allions pas manquer l'occasion d'aller le revoir. Même si notre patelin n'a pas de salle de spectacle digne de ce nom pour un show comme celui-ci, nous pouvons faire confiance à l'ami Yann pour faire lever un parterre de salle paroissiale. Alors, en début de semaine on appelle nos amis pour organiser un souper pasta vino suivi de rock'n roll. Plusieurs répondent oui à l'invitation et nous avons une belle gang à la maison quand la gardienne arrive. Tous ne viendront pas au show, mais nous avons le plaisir d'initier 2 grandes chums qui ne connaissaient pas notre bête nucléaire. Verdict des 2 dames Yes sir! Groove A1, avec mention honorable pour la façon de porter le jeans.
J'ai adoré le show même s'il m'a parfois semblé, surtout en levée de rideau, que le groupe tâtonnait un peu pour trouver ses repères. Pas du point de vue musical car ce puissant groupe est top niveau et bien tight. Mais, à un niveau plus subtil, peut-être au niveau des émotions ou des transitions, ou de l'ordre des tounes, ou je ne sais quelle composante ésotérique qui entre en ligne lors d'un show, bref, sans pouvoir désigner la faille j'ai senti que le moteur ne tournait pas à plein régime au début du spectacle.
Ça ne veut pas dire qu'on s'ennuyait! Comme il fallait s'y attendre, la soirée commence avec le premier titre de Nucléaire, Léger... mais bon.... Cette toune qui commence en douceur pour éclater en passes de drums rushesques peut être vu comme un avertissement: Perreau est un poète chansonnier, mais c'est tout autant un rocker. Et il s'est entouré d'un groupe capable de casser la baraque. Nous avions vu son drummer François Chauvette se greffer à son show à la fin du cycle Western Romance. Monsieur Chauvette est un fils du terroir Sorelois. J'ouvre d'ailleurs une parenthèse pour vous avertir que j'ai sans aucun doute un préjugé favorable quand j'aborde l'univers de Perreau. Le drummer et le bassiste de Yann sont de Sorel comme moi. Un de mes frères et mon beau-frère sont musiciens et tout ce beau monde se connait depuis l'adolescence. J'ai vu François Chauvette l'ado rocker à la chevelure heavy metal. Son nouveau bassiste se nomme Martin Pelland aussi de Sorel. Lui je ne le connais pas, mais ma soeur et mon amie GG sont allé lui parler après le show comme s'ils avaient garder les cochons ensembles. Oh, en passant, Pelland joue aussi avec un band nommé The Dears. J'ajouterai également que notre Yann Perreau national a grandi tout près, de l'autre bord du fleuve, qu'il est aussi le parrain d'une charmante jeune fille de 6 ans dont la marraine est ma tendre épouse. Bref, fin de la parenthèse, quand je vais voir un show de Perreau je ne suis pas le critique le plus objectif. Mais comme disait mon frangin, tous ces facteurs expliqueraient bien que je sois amené à l'écouter attentivement, mais je ne retournerais pas le voir en show à répétition si je ne prenais pas mon pied. Bref, je ne suis pas objectfif, va, mais j'adore ça.
La petitesse de la salle empêchait toute extravagance scénique. Tant pis, mais aux yeux de ma douce moitiée tant mieux. Les chansons de Perreau se retrouvaient ainsi à l'avant de la scène. Quant à moi, j'ai partagé ce sentiment que les chansons étaient en vedette, mais je crois que le fait que le répertoire de Yann ait doublé depuis la dernière fois qu'on l'a vu est tout aussi crucial. L'univers de Nucléaire diffère légèrement du monde de Western Romance et se rapproche de mes cordes sensibles. Ce plus grand choix permet une plus grande diversité dans les choix musicaux. Ceci étant dit mes préférées de WR ont gardé leur punch. N'empêche, j'ai hâte de revoir le show dans une salle plus appropriée avec plus de bidules de mise en scène.
Bref, j'en aurais plus long à dire mais le temps me manque. J'ai adoré ma soirée, Yann Perreau est en pleine forme et je conseille fortement aux lecteurs de LVSPC d'aller faire un tour au Club Soda pour voir le show. On aura l'occasion de s'en reparler.
Yann Perreau est passé en ville. Ma douce et moi n'allions pas manquer l'occasion d'aller le revoir. Même si notre patelin n'a pas de salle de spectacle digne de ce nom pour un show comme celui-ci, nous pouvons faire confiance à l'ami Yann pour faire lever un parterre de salle paroissiale. Alors, en début de semaine on appelle nos amis pour organiser un souper pasta vino suivi de rock'n roll. Plusieurs répondent oui à l'invitation et nous avons une belle gang à la maison quand la gardienne arrive. Tous ne viendront pas au show, mais nous avons le plaisir d'initier 2 grandes chums qui ne connaissaient pas notre bête nucléaire. Verdict des 2 dames Yes sir! Groove A1, avec mention honorable pour la façon de porter le jeans.
J'ai adoré le show même s'il m'a parfois semblé, surtout en levée de rideau, que le groupe tâtonnait un peu pour trouver ses repères. Pas du point de vue musical car ce puissant groupe est top niveau et bien tight. Mais, à un niveau plus subtil, peut-être au niveau des émotions ou des transitions, ou de l'ordre des tounes, ou je ne sais quelle composante ésotérique qui entre en ligne lors d'un show, bref, sans pouvoir désigner la faille j'ai senti que le moteur ne tournait pas à plein régime au début du spectacle.
Ça ne veut pas dire qu'on s'ennuyait! Comme il fallait s'y attendre, la soirée commence avec le premier titre de Nucléaire, Léger... mais bon.... Cette toune qui commence en douceur pour éclater en passes de drums rushesques peut être vu comme un avertissement: Perreau est un poète chansonnier, mais c'est tout autant un rocker. Et il s'est entouré d'un groupe capable de casser la baraque. Nous avions vu son drummer François Chauvette se greffer à son show à la fin du cycle Western Romance. Monsieur Chauvette est un fils du terroir Sorelois. J'ouvre d'ailleurs une parenthèse pour vous avertir que j'ai sans aucun doute un préjugé favorable quand j'aborde l'univers de Perreau. Le drummer et le bassiste de Yann sont de Sorel comme moi. Un de mes frères et mon beau-frère sont musiciens et tout ce beau monde se connait depuis l'adolescence. J'ai vu François Chauvette l'ado rocker à la chevelure heavy metal. Son nouveau bassiste se nomme Martin Pelland aussi de Sorel. Lui je ne le connais pas, mais ma soeur et mon amie GG sont allé lui parler après le show comme s'ils avaient garder les cochons ensembles. Oh, en passant, Pelland joue aussi avec un band nommé The Dears. J'ajouterai également que notre Yann Perreau national a grandi tout près, de l'autre bord du fleuve, qu'il est aussi le parrain d'une charmante jeune fille de 6 ans dont la marraine est ma tendre épouse. Bref, fin de la parenthèse, quand je vais voir un show de Perreau je ne suis pas le critique le plus objectif. Mais comme disait mon frangin, tous ces facteurs expliqueraient bien que je sois amené à l'écouter attentivement, mais je ne retournerais pas le voir en show à répétition si je ne prenais pas mon pied. Bref, je ne suis pas objectfif, va, mais j'adore ça.
La petitesse de la salle empêchait toute extravagance scénique. Tant pis, mais aux yeux de ma douce moitiée tant mieux. Les chansons de Perreau se retrouvaient ainsi à l'avant de la scène. Quant à moi, j'ai partagé ce sentiment que les chansons étaient en vedette, mais je crois que le fait que le répertoire de Yann ait doublé depuis la dernière fois qu'on l'a vu est tout aussi crucial. L'univers de Nucléaire diffère légèrement du monde de Western Romance et se rapproche de mes cordes sensibles. Ce plus grand choix permet une plus grande diversité dans les choix musicaux. Ceci étant dit mes préférées de WR ont gardé leur punch. N'empêche, j'ai hâte de revoir le show dans une salle plus appropriée avec plus de bidules de mise en scène.
Bref, j'en aurais plus long à dire mais le temps me manque. J'ai adoré ma soirée, Yann Perreau est en pleine forme et je conseille fortement aux lecteurs de LVSPC d'aller faire un tour au Club Soda pour voir le show. On aura l'occasion de s'en reparler.