J'existe encore.

Mes amis, je souffre de ne pas vous écrire plus. Je suis en manque de blogamine. Mon XP a souffert alors je souffre. Fichiers de config volatilisés, je dois sortir mon vieux laptop des boules à mites pour ce petit bonsoir. En plus, j'ai eu une grosse semaine côté entrevues d'emplois, c'est bien, mais mon blog souffre. XP souffre, Hugo souffre, LVSPC souffre, Le monde est à pleurer, Jean Leloup tu nous manques (nous en souffrons).

De l'eau sur Mars

La preuve est faite, photo à l'appui!

(via GVO)

Geek

Il y a longtemps que je ne vous ai pas montré mon petit côté geek: The Evolution of a Programmer

Overheard in L.A.

Moorishgirl overheard a couple of women in business suits in a cafe in L.A.:

Look, if she's bludgeoned to death, I want to make sure we see some blood.

Allez voir Moorishgirl pour la suite de cette histoire sanglante...

Spin doctor

Alors Marc, que penses-tu de cette traduction proposé sur le blog Les amoureux du français de La Presse: spin doctor = doreur d'image?

buzkashi

Si ma course à pied me fait trop maigrir et que mon club de rugby me fout à la porte je me recycle dans le buzkashi. Ça se joue au Tajikistan, mais j'ai l'impression que je n'aurais aucun problème à implanter ce sport à Sainte-Anne-de-Sorel.

Cette photo est vraiment hallucinante. (via Global Voices Online)

Tandis qu'on parle du Tajikistan, dans le numéro de décembre du meilleur magazine au monde, Outside, il y a un très bel article sur une expédition dans le Wakhan Corridor, l'étroite bande de territoire à l'est de l'Afghanistan, voisin du Tajikistan. L'article de Mark Jenkins est très bon et les photos de Teru Kuwayama sont superbes. L'article est disponible en ligne, de même que toutes les photos.

Just do it.

Those who do it, get it.

Météo sur l'Axe du mal

Je partage l'opinion de Robin sur Snarkmarket.
Ce site politico-météorologique est trop cool.

Blogs to Riches

En couverture du New York Magazine: The Blog. Avec un article de Clive Thompson dont le blog, collision detection, est bien connu de mes lecteurs réguliers. Extrait:

[...]the five Boing Boing bloggers still retain their day jobs, blogging only part time. “I always figured my life was fueling my blogging, so I didn’t want to be just a blogger,” says Cory Doctorow, a novelist, copyright activist, and one of the Boing Boing five. “We could make a living at this. I mean, we’ve got the circulation of a good-size magazine—better than a good-size magazine. And our overhead is much smaller.” Or as Shirky puts it, “The Boing Boing thing is, they have more readers than Wired and yet they have a part-time staff of five. That’s the new math.”

multi-touch

Sur bad_ace_tech_show un écran... comment dire...

“Bi-manual, multi-point, and multi-user interactions on a graphical interaction surface.”

Allez voir, c'est tripatif.

Filons sur la rivière.

Je suis amateur de patinoires extérieures. On devrait toujours avoir nos patins dans la voiture pour sauter sur ces belles patinoires qui surgissent au bords des routes ou au coeur des villages québécois.

Invités par nos amis de Berthierville, nous avons découvert cette belle patinoire sur le chenal, dans cette petite ville sur la Rive Nord du Fleuve, entre Montréal et Trois-Rivières. Berthierville, c'est la terre natale du grand Gilles Villeneuve, mais c'est surtout mes racines, mes parents y sont nés, et j'ai vécu sur l'île de Saint-Ignace, sur la terre de mes ancêtres.

L'archipel des îles du Lac Saint-Pierre est vraiment superbe, en été, comme en hiver:

Murray Head

Les plus anciens se souviennent de ce hit des années 80, One night in Bangkok, de Murray Head. Aujourd'hui Macam-Macam nous apprend le nom officiel de la capitale de Thaïlande.

All together now! One night in Krung Thep Mahanakhon Amon Rattanakosin Mahinthara Ayuthaya Mahadilok Phop Noppharat Ratchathani Burirom Udomratchaniwet Mahasathan Amon Piman Awatan Sathit Sakkathattiya Witsanukam Prasit, makes a hard man humble...

Les derniers humains

Quand on commence à s'investir dans une activité comme la course la pied on devient un peu casse-pied; on ne pense qu'à ça et quand on a une grande trapppe comme votre humble serviteur, on ne parle que de ça. Pour vous épargnez un peu de mes lubies je vous ai rendu service en créant un blog spécifique pour mon entraînement, mais je ne vais quand même pas vous laisser complètement tranquille! Il y a des fois où je vais faire de la convergence et je vais me référer moi-même, comme ce matin, quand il y aura des sujets de coureurs qui pourront vous intéresser.

Dans À propos d'un titre par exemple, j'explique mon choix de titre pour mon blog d'entraînement. Et j'y affiche la chronique de Pierre Foglia qui me l'a inspiré. Je pense que ça peut intéresser bon nombre de lecteurs de LVSPC.

Podcast avec John Patrick

Podcast intéressant sur les blogs avec John Patrick, sur le site de IBM.
Blogs, innovation, communication, tags, contexte...extraits:

Blogging is probably the most underestimated technology I can think of right now. There are many underestimated technologies currently, and people always like to talk about what’s the next big thing. And I think there are a lot of next big things right now. In fact, this feels like 1994 to me. And it is very exciting. A lot of venture capital is flowing, a lot of new companies are starting, a lot of people are putting new ideas together and it is a very exciting time.

And I would say that most of the really big next things are already here, we just don’t know it. And the way I have been able to spot the next big thing is to look at what people are skeptical about. If they are skeptical about it, it is pretty likely one of the next big things.

It is hard to imagine about a dozen years ago people were very skeptical about the Internet. Oh, that’s very interesting, John, but we will never connect our bank to the Internet. Well, of course, now we know that banks couldn’t be banks without the Internet.

So blogging is in that category. I would say we are 5% of the way there. Blogging is one of those things that people like to say, oh, blogging, you know, it is like the hula hoop or CD radio, and I think still it is being underestimated because blogging is not about John writing his opinion or Sally writing her opinion, blogging is a way to communicate.

Sur les tags, power to the people!:

This is way under-tapped. We are right at the very beginning of this. We are at the very beginning with tagging, and there is a lot of deep research kind of work going on, but I think there is a case to be made that the real impact of tagging will come from grassroots. Just like the real impact of the Web, it did not come top down. It didn’t come from IBM or AT&T® or Microsoft® or GE® or any big company. It came from people at universities and governments and students and just people. That’s how it evolved and is still evolving. And I believe right now that the power to the people concept is reengaging. People are taking control of their data and they are deciding what tags should be applied.

Cash. Johnny Cash.

Kicking and a' gouging in the mud and the blood and the beer.

J'ai découvert Johnny Cash il y a une couple d'année quand j'ai vu un jeune chansonnier, Olivier Bolduc-Coutu, en première partie d'un show de Yann Perrau. Je vois grâce à Google que ce jeune homme a un band hommage à Cash. Quand je l'ai vu, il s'est pointé seul avec sa guitare et m'a envoûté. En l'espace de quelques minutes j'étais devenu un fan de Cash.

Je me rappelle particulièrent la toune A boy named Sue. Il y a une couple de mois j'ai acheté cet album, 1955-2003: The Legend of Johnny Cash. On y trouve une version de A boy named Sue enregistrée live à la prison de San Quentin.

La chanson raconte l'histoire d'un garçon affublé du prénom féminin de Sue. Il n'a pas connu son père mais il jure de le retrouvé pour le tuer pour l'avoir forcé à endurer une vie avec un prénom de fille. Les paroles sont très drôles mais plutôt violentes. Et cette violence trouve écho dans les réaction de la foule sur l'enregistrement. San Quentin est une prison à sécurité maximale et quand Cash chante:

Some gal would giggle and I'd get red
And some guy'd laugh and I'd bust his head,
I tell ya, life ain't easy for a boy named "Sue."

ou quand il retrouve son père et lui crie:

And I looked at him and my blood ran cold
And I said: "My name is 'Sue!' How do you do!
Now your gonna die!!"

quand il chante ses mots très durs, la foule de prisonniers hurle son approbation et on sent qu'ils comprennent trop bien le langage!

Mettez-la main sur cet enregistrement et écoutez bien, particulièrement après ces paroles:

Well, I hit him hard right between the eyes
And he went down, but to my surprise,
He come up with a knife and cut off a piece of my ear.

On entend clairement une voix s'élever au-dessus des autres et on sait que ce type n'est pas à l'ombre pour évasion fiscale...

Blog! Forrest! Blog!

Avec tambours et trompettes, je lance officiellement un deuxième blog. Lentement mais sûrement, un empire naît. Comme je l'annonçais très brièvement il y a quelques semaines, je me suis remis à l'entraînement de façon assidue. Plus précisément, je cours. Tout naturellement je bloggerai. Jeux de mots faciles à l'horizon... je jog, je blog.

Attention! Pour amateurs d'entraînement seulement! Je vais y afficher des trucs ennuyant comme kilométrage, météo, tendinites, cross training, kilos perdus, cadence, motivation, fartlek, glucides et bla, et bla bla bla.

Venez quand même faire votre tour de temps à autres, je pourrais me tromper parfois et écrire des futilités divertissantes...

Les derniers humains

patterns des encans sur internet

Dans Going Once ... Going Twice ... The Bidding Behavior of Buyers in Internet Auctions (via ITBusiness.ca) des chercheurs en marketing et statistiques étudient les patterns de participation aux encans internet. Je vais m'attarder à ce qu'ils disent sur les vendeurs car pour les achats je suis en train de devenir pro.

Hier j'ai reçu mes nouveaux souliers de course, arrachés dans la dernière minute de l'encan. D'ailleurs c'est assez simple de gagner au meilleur prix (merci au vieux pro Payamski pour m'avoir bien formé), en gros il faut garder la main jusqu'à la dernière minute. On commence par bien définir le prix maximum que nous sommes prêt à payer mais on ne se manifeste pas avant la fin de l'encan. D'abord, il ne sert à rien de faire monter le prix, puis de cette façon on garde la main.

Quand il reste moins d'une minute à l'encan on peut placer notre mise. Même si la personne qui mène la mise est en ligne à ce moment, le truc est d'attendre à la toute fin pour qu'il n'ait pas le temps de battre votre mise. Il faut vraiment attendre la dernière minute: pour mes souliers un type a misé à 2 minutes de la fin... too bad, j'ai eu amplement le temps de lui couper l'herbe sous les pieds, et comme j'ai attendu à quelques secondes de la fin il n'a pas eu la chance de me relancer. À moi les beaux souliers!

Chuck Norris

www.chucknorrisfacts.com

Ne me demandez pas pourquoi.

Extrait:

In fine print on the last page of the Guinness Book of World Records it notes that all world records are held by Chuck Norris, and those listed in the book are simply the closest anyone else has ever gotten.

via Trail Running Lifestyle

on est vraiment en plein délire là…

Ce n'est pas moi qui le dit, mais l'ami Valentin sur son je blogue donc je suis. Il nous offre une superbe caricature qui aborde le sujet sans jeter d'huile sur le feu. Encore, que je ne sais plus, les extrémistes arrivent parfois à faire passer de l'eau pour de l'huile. Voici donc Plantu tel publié dans Le Monde:





mise à jour: via Global Voices Online on a un aperçu des opinions de blogueurs Indiens sur la question. J'aime bien ce que dit Mezba:

I believe this is a fantastic opportunity for the Arab world. Cancel the boycott. Announce that any European visiting an Arab country will get a free tourist visa, and can live with an Arab family. Start with the Danes. The Arabs are famous for their hospitality, and many locals will line up to have an European family stay with them.

blog hara kiri

Il y en une qui l'a vraiment fait sans qu'on la voit venir... vie hara kiri, sushi et wasabi.

Il y en a qui nous menace sans qu'on les croit vraiment (heureusement qu'il se dégonfle, on l'aime bien).

mise à jour: Il y en a un qui se moque de nous avec ça.

Puis celle qui m'aidait à maintenir un semblant d'équilibre entre sérieux et frivolité le fait pour vrai. Elle n'a pas le choix elle part du Soudan notre Sleepless in Sudan. Farewell.

on lance des chiens en slow-mo

On lance des chiens, on filme au ralenti sur de la musique techno. Pourquoi? Mais parce qu'on va bien le faire, Alors j'embarque! (C'est peut-être parce que je suis un ancien employé de fido...)

Sans blague, je n'ai pas tout regardé, mais il y a là des petits bijoux déjantés.

(via Reasoner qu'on aime chaque jour un peu plus)