mercredi, juin 29, 2005
Google Print arrive en ville
(via Snarkmarket)
mardi, juin 28, 2005
citation du jour
Free Your Mind And Your Ass Will Follow
lundi, juin 27, 2005
les voisines nues et tatouées de Joel Stein
Extrait:
Tuesday afternoon, as Michael and I were making brownies with bits of Snickers and Rolos in them, I looked down at my apron and realized why we weren't the kind of guys who date naked Internet women.
The thought recurred when, waiting for the brownies to cool, we played classic Pac-Man on my TV. We weren't even cool enough to do these things with marijuana. Bringing brownies to hot, tattooed punk girls suddenly seemed not only transparently creepy but downright dangerous.
via The Obscure Store & Reading Room
Viva Seattle!
George Bush peut faire ce qu'il veut avec Kyoto (rien), le maire de Seattle s'en balance. Et si les villes américaines ratifiaient Kyoto?
Les meilleures idées sont les plus simples(via Grist). En intro de l'entrevue:
He's managed to get roughly 300 mayors nationwide -- from the Northwest to the deep South and everywhere in between -- to agree that it's a good idea for U.S. cities to meet or beat Kyoto Protocol targets for reducing greenhouse-gas emissions, despite the Bush administration's rejection of the treaty. Municipal leaders attending a U.S. Conference of Mayors meeting in Chicago on Monday unanimously endorsed Nickels' initiative calling on cities to do their part to stave off climate change. Before the conference vote, 165 mayors from 37 states had individually signed on to the initiative; now Nickels hopes many more will follow suit
vendredi, juin 24, 2005
mercredi, juin 22, 2005
Rencontre avec un géant: José Saramago
Si dans mon histoire d'amour avec la littérature il y un avant-Kerouac et un après-Kerouac; un avant-Boulgakov et un après-Boulgakov; il y aura dorénavant un avant-Saramago et un après-Saramago. Imaginez une horreur comme celle qu'on sent en lisant Stephen King, sous la plume d'un écrivain portugais auréolé d'un Nobel de littérature, rien de moins. Même si l'histoire racontée est passionnante, la forme utilisée pour le récit m'a particulièrement impressionnée. Les dialogues sont fondus dans le texte sans autre marqueur typographique qu'une virgule et une majuscule pour différencier les interlocuteurs. Au début le lecteur est un peu agacé, mais il s'habitue à tout (voilà une phrase qui revient souvent dans le roman: l'humain s'habitue à tout) et on finit par s'acommoder de ce détail. Mais est-ce vraiment un détail? Bien sûr que non! Par ce procédé le lecteur est plongé dans la même confusion que les aveugles du récit. Plus il y a de personnages en interaction et plus nos sens sont en éveil. Qui parle? à qui parle-t-il? Le lecteur et les personnages partagent les mêmes interrogations.
Encore une fois j'en dois une à mon frère roumain, Bogdanhino. Il m'a mis sur la piste de Saramago après m'avoir fait découvert Boulgakov il y a une couple d'années déjà.
Extrait:
[...]nous avons descendu tous les degrés de l'indignité, tous autant que nous sommes, jusqu'à atteindre l'abjection, cela pourrait nous arriver ici aussi, bien que de manière différente, là-bas nous avions l'excuse de l'abjection des gens à l'extérieur, maintenant nous n'avons plus d'excuse, nous sommes tous égaux devant le mal et le bien, je vous en supplie, ne me demandez pas ce qu'est le bien et ce qu'est le mal, nous le savions chaque fois que nous avons dû agir quand la cécité était une exception, les notions de juste et d'erroné sont simplement une façon différente de comprendre notre relation à l'autre, pas celle que nous entretenons avec nous-mêmes et à laquelle nous ne pouvons nous fier, excusez cette harangue moralisatrice, mais vous ne savez pas, vous ne pouvez pas savoir ce que c'est que d'avoir des yeux dans un monde d'aveugles, je ne suis pas une reine, non, je suis simplement une femme née pour voir l'horreur, vous, vous sentez l'horreur, moi je la sens et je la vois, et maintenant assez disserté, allons manger. Personne ne posa de questions, le médecin se borna à dire, Si un jour j'ai de nouveau mes yeux, je regarderai vraiment les yeux des autres, comme si je voyais leur âme, L'âme, demanda le vieillard au bandeau noir, Ou l'esprit, peu importe le terme, alors, de façon inattendue si on considère qu'elle n'a pas fait de longues études, la jeune fille aux lunettes teintées dit, Il y a en chacun de nous une chose qui n'a pas de nom, et cette chose est ce que nous sommes.
Ça peut sembler un peu difficile d'approche hors contexte et tout d'un bloc, mais je vous le dis, ça se lit très bien car le récit est très prenant.
mardi, juin 21, 2005
citation; Grahame
"There is nothing, absolutely nothing, half so much worth doing as simply messing about in boats."
Kenneth Grahame, The Wind in the Willows, 1908. Je ne connais pas le bouquin, seulement la citation.
Un autre Boulgakov
Il s'agit d'un récit autobiographique racontant la descente aux enfers d'un médecin russe aux prises avec une dépendance à la morphine. Entre 1916 et 1919, Boulgakov, jeune médecin envoyé dans un lointain village russe, a effectivement été morphinomane. Si Endiablade se lisait avec le sourire aux lèvres et avait des airs de Kafka, on ne rit pas à la lecture de Morphine qui fait plus penser à Junkie de William S. Burroughs. Voilà un texte qui mérite son titre de "joyau noir d'une oeuvre unique". À lire.
lundi, juin 20, 2005
tranquille au bureau
Ceux qui ignorent ce que je fais dans la vie doivent penser que je suis un travailleur malhonnête qui passe sa semaine sur un blog au lieu de travailler. Il n'en est rien. J'ai un travail qui d'habitude est très exigeant. Je fais du développement informatique dans une entreprise qui oeuvre dans un milieu très compétitif. Cependant, l'entreprise en question a été rachetée par une very big corporation. Les applications sur lesquelles je travaille depuis près de 5 ans seront migrées in beautiful Toronto et j'aurai une prime de départ d'ici la fin octobre. En attendant, le gros de l'ouvrage se fait à Toronto, tandis que je suis en support à Montréal. Et comme les choses sont à peu près terminées dans l'équipe, j'ai beaucoup de temps à consacrer à mon CV et à mon blog.
Tarantino
Voici donc pour meubler les heures de ceux qui ont du temps, l'intégral du script de Reservoir Dogs de Quentin Tarantino. Si vous êtes comme moi, vous appréciez les films de Dr Q en grande partie pour les dialogues, alors la lecture du script vous donne une dose de Quarantino au bureau.
Ça part sur les chapeaux de roues avec le meeting au restaurant et la théorie sur Like a Virgin de Mr Pink, ainsi que les vues de Mr White sur le pourboire. Extrait:
MR. WHITE
Uh-uh. I don't tip.
NICE GUY EDDIE
Whaddaya mean you don't tip?
MR. WHITE
I don't believe in it.
NICE GUY EDDIE
You don't believe in tipping?
MR. PINK
(laughing)
I love this kid, he's a madman,
this guy.
MR. BLONDE
Do you have any idea what these
ladies make? They make shit.
MR. WHITE
Don't give me that. She don't
make enough money, she can quit.
Bon, il ne faut pas que je me fasse prendre, j'ai du boulot que je vous dis! Je vous laisse lire la suite.
vendredi, juin 17, 2005
La bêtise humaine est la seule chose qui donne une idée de l'infini.
Ça m'a rappellé un citation que j'adore de Charles Babbage (1791-1871), inventeur de la théorie de l'ordinateur:
On two occasions, I have been asked [by members of Parliament], 'Pray, Mr. Babbage, if you put into the machine wrong figures, will the right answers come out?' I am not able to rightly apprehend the kind of confusion of ideas that could provoke such a question.
Perreau: clips et musique
reprise de Leloup
La Vallée des réputation, quel album! Et quel show!
Ça me rappelle qu'à la sortie de l'album, il tournait souvent à la maison. Un soir pendant qu'on préparait le souper, mon fils qui n'avait que 4 ans à l'époque vient me voir avec la lèvre tremblante et la voix chevrottante du pleur imminent. Leloup tournait à fond dans la cabane. Mon Ti-loup me demande au bord des larmes pourquoi Jean Leloup est parti de sa famille et qu'il ne faut jamais revenir. "Ça me rend triste" qu'il me dit. Maudit que mes enfants sont cools! Faut pas t'en faire mon Ti-Loup, personne sans va. Puis tu pourras toujours revenir.
Droits de l'homme
Pale blue dot
Pour voir ce petit point bleu pâle dans toute sa splendeur, visitez la page Earth Observatory de la NASA.
mercredi, juin 15, 2005
Daniel Lanois dans Voir
Sur le site de Voir, on peut donner ses impressions sur les articles et les internautes votent pour leur réaction préférée. J'ai réagi à l'article du DL et des inconnus ont voté pour mon texte! Flatteur. Et ça donne des jettons qu'on peut miser sur des encans web sur le site de Voir. Je trouve ce concept assez brillant. À voir la quantité de réactions et d'encans, on peut voir que la méthode génère une belle affluence.
Je me réfère moi-même sur un autre site, je passe sans doute trop de temps sur le web.
La fin du party 2
En voilà un autre qui prédit la fin du party pour très bientôt.
In Deffeyes' view, it's well past time to start thinking about what will keep society running as oil supplies start to shrink. Contrary to supply-side optimists who believe innovation will keep oil and gas flowing, he espouses the view that there are only so many hydrocarbons in the ground and we're running through them quickly.
liens sur le sujet:
DryDipstick.com
HubertPeak.com
Lecture; Endiablade de Boulgakov
Mikhaïl Boulgakov consolide sa place tout en haut de ma liste d'écrivains préférés. Je viens de terminer la lecture de Endiablade ou Comment des jumeaux causèrent la mort d'un chef de bureau, plus une longue nouvelle qu'un roman, avec cent pages de délire absurde ou la bureaucratie russe prend les couleurs de Kafka et du Brazil de Terry Gilliam.
On ne peut résumer l'histoire d'Endiablade, comme on ne peut décrire le chef-d'oeuvre de Boulgakov , Le Maître et Marguerite. On ne peut que s'abandonner dans l'absurdité et la folie étalées par une prose sans faille. On lit cette suite d'aventures les sourcils froncés, on se gratte la tête, on sourit, puis on rit, tout haut, malgré les voisins de métro qui nous regarde apathiquement. Une fois le bouquin terminé, on reste ébahi et on crie sur tous les toits qu'un grand écrivain russe a vécu dans le quasi-anonymat au XXième siècle, mais que ses livres ont leur place aux côté des plus grands.
Il faudra que ma cousine ALC y regarde de plus près. Elle qui complète (ou qui a complété? Je ne lui pas parlé depuis quelques mois) son doctorat en littérature, m'a fait cadeau l'automne passé du bouquin à la base de sa thèse, Des choses cachées depuis la fondation du monde de René Girard. Je n'ai pas tout lu ce bouquin touffu, mais quand même assez pour saisir que la thèse de Girard repose sur ce qu'il nomme la mimésis dans l'origine des conflits. Il reprend souvent l'exemple des jumeaux pour illustrer ses propos. De plus, son oeuvre fouille les mythes et le religieux. Alors, évidemment avec un titre commme Endiablade ou Comment des jumeaux causèrent la mort d'un chef de bureau, voilà une piste à explorer.
mardi, juin 14, 2005
la physique ne peut pas expliquer Mona Lisa
extrait:
"A simple statement of fact: there is no physics theory that explains the nature of, or even the existence of, football matches, teapots, or jumbo-jet aircraft."
aussi:
"Can we nevertheless claim that the underlying physics uniquely causally determines what happens, even if we cannot predict the outcome? To examine whether we can, contemplate what is required for this claim to be true within its proper cosmic context. The implication is that the particles existing when the cosmic background radiation was decoupling from matter, in the early Universe, were placed precisely so as to make it inevitable that 14 billion years later, human beings would exist, Charles Townes would conceive of the laser, and Edward Witten would develop string theory. Is it plausible that quantum fluctuations in the inflationary era in the very early Universe — the source of the perturbations at the time of decoupling — implied the future inevitability of the Mona Lisa and Einstein's theory of relativity? Those fluctuations are supposed to have been random, which by definition means without purpose or meaning."
Je ne veux pas avoir l'air flyé, mais je parlais justement de ça en faisant la vaisselle la semaine dernière avec mon épouse et mon pote Éric. Pas tout à fait dans ces termes cependant.
lundi, juin 13, 2005
L'appel du blog
Mais l'appel du blog est fort! J'étais comme Marius face à l'appel du large. Je me mis donc à chercher des solutions pour insérer le blog dans l'équation de la vie.
Je commençai par envisager de traîner mon vieux portable dans l'autobus. Car voyez-vous, dans mon équation personnelle la variable boulot se trouve à près de 100 km de la variable famille. Je passe donc à peu près 4 heures en transit quotidien entre travail et famille. Je sais, c'est fou, mais ce sera le sujet d'un autre billet. Comme ma conscience écolo et mon bon sens dictent que je doive mixer un cocktail de transport en commun pour avaler tous les jours ces kilomètres, je passe 2 heures par jour dans un autocar très confortable. Vous comprenez j'en suis sûr, que mon esprit en manque de blog a saisi la possibilité d'utiliser ces heures pour écrire. D'où cette idée de traîner mon portable.
Il y a toutefois un hic. Outre l'autobus et le métro, un ingrédient primordial de mon cocktail de transport est le vélo. Et comme j'utilise cet ingrédient beau temps, mauvais temps, 12 mois par année, je transporte un sac déjà chargé de vêtements pour contrer la pluie ou la neige. Sans compter mon lunch, mon thermos de café, mon journal et un livre. Bref, pas de place pour un ordi.
Je fantasmai ensuite sur l'achat d'un ordi de poche, style Palm. Mais, les quelques centaines de dollars requis pourraient être dépensés environ 4000 fois de façon plus judicieuse.
J'eus alors l'idée d'une technologie éprouvée, légère et qui coûte moins de 10$: le duo calepin/stylo. J'avais entendu parler de ces outils révolutionnaires il y a quelques mois dans un article du Globe and Mail. L'article faisait référence à un produit en vedette sur le blog 43 Folders.
Alors je crois que l'équation va tenir le coup. Ce qui me ramène aux autres, que je soupçonnais de ne pas avoir de vie. Évidemment, je me gourrais. L'appel du blog amène une redistribution de nos tâches, une réorganisation de nos routines. Je vais moins dormir dans le bus. D'autres auront coupé les heures de télé, ou laisser un chum qui n'était de toute façon pas pour elles. Et bien sûr plein de bons citoyens n'ont pas d'enfants: les jeunes, les stériles, les écolos, les lucides, les pessimistes, les procrastinateurs, et d'autres de bonne ou mauvaise réputation. Bien entendu, on a une vie si on n'a pas d'enfants! Alors, oui, on peut tenir un blog de qualité et avoir une vie. Mes excuses d'avoir pensé le contraire.
L'autobus arrive à Sorel, on s'en reparle plus tard.
@ +.
Suis-je seul à penser
Essential lifestyle tips
Quels sont vos préférés?
World naked bike ride
"It is time to stop indecent exposure to automobile emissions and to celebrate the power and individuality of our bodies! Naked Bicycle People Power!"
Pas de danger de prendre le bas de son pantalon dans la chaîne, mais tout de même, soyez prudents camarades, les risques du vélo flambant nu n'ont pas été très bien étudiés. Franchement, je ne suis pas prêt à joindre les rangs des dénudés, mais à défaut de laisser tomber la chemise, je leur lève mon chapeau et je relaie l'information. Naked Bicycle People Power!
vendredi, juin 10, 2005
spywares >:(
Si vous un problème de spywares, tapez highjackthis dans Google et vous trouverez toute l'info voulue pour vous débrouiller.
Haka
Le Haka est une danse et un chant guerrier Maori. Les équipes sportives de Polynésie entreprennent souvent leurs matches en le pratiquant face à leurs adversaires. L'équipe nationale de rugby de la Nouvelle-Zélande, les All Blacks, en sont les ambassadeurs les plus connus.
Cadenas à crème glacée
jeudi, juin 09, 2005
Citation; Malraux
Je vous avais dit que j'aimais bien les citations. En voilà une première, d'André Malraux, dans La condition humaine:
"Quand il disait quil se tuerait, il ne se croyait pas; mais puisqu'elle le croyait, il entrait dans un monde où la vérité n'existait plus. Ce n'était ni vrai, ni faux, mais vécu."
J'adore la dernière phrase. Je trouve qu'elle colle parfaitement au web. Tiens, je pense que je vais me l'emprunter pour la page principale de LVSPC.
mercredi, juin 08, 2005
Semaine du Grand Prix à Montréal
Pour nous mettre dans l'ambiance avec un brin de nostalgie, allez voir ce stupéfiant vidéo du duel, classique des classiques, entre Gilles Villeneuve et René Arnoux.
La fin du party?
Je n'ai pas lu le bouquin, mais l'entrevue nous donne une bonne idée des vues pessimistes de M. Kunstler. Son argumentation repose sur la prémisse que nous avons atteint, ou sommes sur le point d'atteindre, le sommet de la production mondial de pétrole. Selon lui, aussi rapidement que d'ici trois ans une crise se mettra en branle, et d'ici 10 ans nous entrerons dans une crise majeure à cause de la diminution des stocks de pétrole disponible.
Il souligne à quel point la société actuelle ne tient la route que grâce à des stock de pétrole abondant et à bon marché. La crise imminente va toucher les transports, la production d'électricité, les infrastructures routières, l'industrie agroalimentaire, le commerce de détail style méga-centres ainsi que le tissu même de la banlieue. Bref, ça va faire mal!
Les conséquences de ces bouleversements? Un retour à la terre forcé, rien de moins. Selon lui, les communautés qui s'en tireront le mieux seront celles avec un réseau communautaire solide et à proximité de terres agricoles. Déménageons tous à Sainte-Anne-de-Sorel!
Illusions d'optique à la tonne
Trouvé sur le blog Snarkmarket. Je vous reparlerez bientôt de Snarkmarket, je les aime beaucoup. En attendant allez les voir, vous saurez de quoi je parle.
mardi, juin 07, 2005
quelques liens
Le site You Have Bad Taste in Music est un site tordant. On y voit un type qui se pointe devant des files d'attente pour des concerts de musique pop pour dire à la foule qu'ils ont de mauvais goûts musicaux. C'est très drôle. En anglais et ça prend Quicktime.
C'est parti.
En 2000, je créais ma page web personnelle avec comme principal objectif d'y partager mes coups de coeur. J'y disais même espérer beaucoup de commentaires des visiteurs, dans l'espoir fou de créer une petite communauté virtuelle.Mais, atteindre ces objectifs avec mon HTML à la mitaine était trop long et fastidieux. Arrive les blogs. Voilà exactement l'outil qui répondra à mes objectifs. Bien sûr, la famille prend toujours autant de temps, et le boulot aussi, mais la puissance des outils de blogs me permettent d'espérer des mises à jour régulières.
En 2003 j'avais mis sur pied un groupe de discussion Yahoo que je vais maintenant mettre à mort au profit de mon blog. Le groupe survivra cependant dans le nom du blog: Le vélo sans petite culotte. Voyons d'abord comment je définissais le groupe:
Amoureux de la vie. Trippeux. Amis anciens et nouveaux, jeunes et vieux. DeÇa donne une idée. Mais le nom? Pourquoi ce nom en promesses pornographiques? Recourons une fois de plus au bon vieux copier-coller depuis le premier message du groupe (25 octobre 2003):
Sorel à Sherbrooke, en passant par La Prairie, Brossard, Laval, Berthierville,
Montréal et les Fidjis. Notre bande élargie cherche toujours les occasions de
s'ennivrer et rire. Bienvenue à tous sur notre planète.
"Il y a quelques années notre copain Martin est allé visiter des amis
à Saint-Tropez. Sur la route, la circulation était très lente. Une jolie
cycliste dépassa la camionette qui conduisait Martin vers de nouvelles
aventures. La dame se monta en danseuse sur ses pédales ce qui permit au vent de
soulever sa robe estivale et de laisser aux copains Français et au touriste Sorelois
regarder le postérieur de la belle à vélo... sans petite culotte! Les Frenchies
passaient et repassaient et saluaient la sympathique cycliste. Et le Français de
dire de son accent du Sud: "Elle est pas belle la vie! Le vélo, sans petite
culotte!" Voilà l'esprit de liberté que j'aimerais partager avec nos amis sur ce
forum. Liberté d'un "beaver au 4 vents" (le commentaire du touriste Sorelois)."
Vous allez voir que j'aime bien les citations, en voici une première: "C'est ça qui est ça" (Martin Léon, in Kiki BBQ). Je vous reviens bientôt avec plus de contenu. On causera internet, technologies, actualités, littérature, famille, aventure et bien sûr de rugby. Je vais me familiariser avec mon nouveau jouet assez rapidement alors revenez me voir très bientôt.
Ci@o.